Japan’s ex-Idol: Koike Eiko

Cela faisait longtemps. Voici une charmante demoiselle qui est assez mystifiante.

Aujourd’hui: Eiko Koike (“Eiko”, c’est le prénom).

Elle a l’air banale ? Pensez donc. Passons rapidement aux informations qui vont intéresser tout mon public masculin:
Elle a 26 ans, est célibataire, fait 1m66, et ses mensurations sont de 91-59-87.

C’est un gros 91. Ça ne se voit pas trop sur la photo du dessus ? Vérifiez dans celle du dessous.

C’est un peu pour ce genre de photos qu’elle est connue. Mais l’histoire ne devrait pas être aussi simple.

Je n’ai pu glaner que quelques infos à peine sur son enfance, et c’est du très folklorique; je passerais sur les détails…mais l’important est que Koike Eiko est habituée des phrases choc. Il y a à priori un léger doute qui planait sur ses capacités intellectuelles (soit “elle est vraiment très bête pour dire des trucs pareils”, soit “ffeewwww”). Il se trouve que depuis qu’elle est connue, elle ne dit plus de bêtises, alors on dirait bien que toutes ses déclarations n’étaient qu’un gros calcul pour lancer sa carrière. Et bien c’était bien fin, car maintenant elle est riche et connue.

Elle est originaire de Tokyo, plus précisément de Setagaya. Ses parents tenaient un Pachinko à l’époque, mais se sont reconvertis en tenanciers de salle de jeux (vidéos). Après une adolescence bien calme (quoique…), et juste après le lycée (on a compris maintenant: le succès ne vient pas après l’université), en 98 donc, elle devient mannequin (pour être idol) mais à une seule condition: elle n’apparaitra pas en maillot de bain (ou moins). Sa raison invoquée: elle a une peur panique de l’eau après plusieurs incidents, et elle déteste jusqu’aux maillots de bain. Ben voyons. Mais chaque peur a son prix.

Ses futurs employeurs l’embauchent en acceptant la dite condition…et à la première séance photo…la font mettre en maillot en bain. Du moins, c’est ce dont elle se plaindra dans une émission de télévision quelques années plus tard: “moi je ne voulais pas le faire au début, mais je me suis faite avoir”…mmmmouais. Moi, j’y crois à peine. Mais qu’est-ce qu’on s’en moque après tout.

Gros coup de chance pour elle, les fortes poitrines connaissent quelques années plus tard (2 ans plus tard, en 2000) un “boum” dans la profession. Koike Eiko va s’engoufrer dans la brèche et aligner tellement de publications, avec un charisme certain, qu’elle sera remarquée du public. Je précise -si il y a besoin !- qu’elle n’a jamais fait de nu.

Une fois connue (vers 2002-2003, sa dernière publication étant en 2003), la période des maillots de bain et des phrases choc sera révolue. L’avenir nous dira si c’est pour de bon ou pas, mais je crois bien que oui.

Elle switche sur le métier d’actrice; elle sera sur les planches une fois en 2002, deux en 2003, deux en 2004… Et puis dans les séries TV; trois en 2002, trois en 2003, quatre en 2004, six en 2005… Bien entendu, elle s’approche de plus en plus du rôle principal. Mais elle est déjà second rôle, ce n’est plus de la figuration.

Pour se faire de belles fins de mois, et comme il se doit pour n’importe quel talento, elle fait la couverture des magazines et parraine quelques livres (ci-dessous un livre sur les assurances, du genre “Les assurances pour les Nuls”).

On en arrive finalement à notre époque; en 2006 j’ai eu l’occasion de la voir dans la série TV assez bien “嫌われ松子の一生”(Kiraware Matsuko no isshou) (Cette série commence par la mort de l’actrice principale, et toute la série relate sa vie, et pourquoi/comment elle est morte. L’histoire est excellente, le réalisateur minable. Sentiment mitigé à la fin, c’est dommage!), où elle tenait un des rôles principaux.

Et surtout, on a pu et on peut toujours la voir dans le talk-show カンブリア宮殿(Cambria Kyuden) du lundi soir sur Tokyo-TV. Ce show, c’est une émission de pro (un peu trop courte, et avec des questions pas forcément très pertinentes, hélas), avec des invités proprement prestigieux (je crois que c’était le chairman de Toyota qui avait inauguré le show, puis l’ancien CEO de Shiseido, puis le CEO de Livedoor, etc etc. La prochaine émission (lundi prochain, 22h, Tokyo TV) aura pour invité le chairman de ANA). Et bien, on ne la reconnait pas la petite Eiko. Qu’elle est loin l’époque des maillots de bains ! Parce que Tokyo TV n’aurait pas donné ce job à n’importe qui.

C’est une bonne conclusion. Koike Eiko n’est plus n’importe qui. Je lui souhaite bien du succès pour une carrière qu’elle a déjà bien lancée.

(plus de photos dans la page habituelle…un jour prochain).

Firefox

J’ai trouvé pas hasard une photo d’un firefox. Tout le monde connait firefox grace à Mozilla (et aussi un peu grace à Clint Eastwood ?):

Et bien voici un vrai firefox:

En fait “firefox” est un surnom de cet animal, dont le vrai nom est “red panda” (“panda roux” en français).

Le firefox est hélas une espèce en voie d’extinction (quelques milliers de survivants sur la planète). Mozilla lui a donné une sympathique couverture médiatique qui ne pourra qu’aider à sa survie. Au Japon également, un firefox du nom de Futa (風太) d’un zoo de Chiba, arriva en mai 2005 à tenir debout sur deux pattes pendant 30 secondes, ce qui lui donna une grande renommée, ainsi qu’à sa race entière, dans tout le pays (moi je trouve ça triste qu’il faille que l’animal fasse des figures de cirque pour que les gens notent son existence).

Si vous êtes intéressé par la vue (en photos…) d’animaux qui vont peut être bientôt disparaître de la planète, Le Figaro en montre dix dans cet article sur EDGE (Evolutionarily Distinct & Globally Endangered).

Nos amis les chats

J’ai eu tellement de choses à faire ce week-end (dont la “cérémonie” d’ouverture d’un club-video dont j’avais parlé le 1er janvier), que je n’ai pas eu le temps d’écrire un seul article. Alors je me contente de poster quelques images de nos amis les chats, trouvées par hasard sur Internet.

L’ascenseur traumatisant

Tant qu’à parler d’ascenseur…

Notre ascenseur ne fait pas que Juke-box. Il a une particularité qui traumatise nombre de personnes: il n’a pas de bouton “fermer” (les portes).

Coutume tokyoïte: quand une personne sort de l’ascenseur, les personnes restées à l’intérieur appuient sur le bouton “fermer” pour gagner les quelques précieuses secondes qu’il y a entre ce moment et le moment où les portes se refermeront automatiquement. Je vous assure que c’est un tic, et je m’en suis aperçu moi-même; je fus “choqué” lors de ma première visite dans cet immeuble dans lequel je travaille maintenant, quand l’ascenseur s’arrêta pour laisser quelqu’un sortir, et que je levai le bras, puis le doigt, vers un bouton qui n’existait pas.

N’allez pas croire que je sois le seul à m’être fait avoir; les commerciaux que je vois venir, les visiteurs, les nouveaux employés, ils se font TOUS avoir. Le pire, c’est que tout le monde ne le remarque qu’une fois qu’ils essaient de le pousser, ce bouton qui n’existe pas.

J’ignore pourquoi ils ont fait un ascenseur sans bouton “fermer” (ce n’est pas que ce soit très important de le savoir non plus), peut être quelques fous furieux d’économies de secondes ont coupé des gens en deux en fermant la porte trop rapidement ?

Le truc amusant, c’est que je me suis dit qu’il devait y avoir un problème avec le temps de fermeture automatique des portes: le traffic des gens entrant et sortant n’est pas le même selon l’heure dans la journée. Et bien, les fabricants de l’ascenseur y ont pensé, figurez-vous! La porte va mettre ses 6-7 secondes pour se fermer aux heures de pointe du matin (car les gens éloignés d’une dizaine de mètre de l’ascenseur sont prêts à courir pour entrer dans l’ascenseur de manière à arriver à l’heure au travail). Mais elle mettra 2 secondes pour se fermer en journée (car en général seules une ou deux personnes montent ou descendent). Il y a bien entendu un capteur de passage photo-électrique dans la porte.

Je vous le dis, il se passe des choses autour de nous dont on n’a pas idée. 😀

Musiques d’ascenseur

Les ascenseurs du bureau nous déversent une musique en continu, et je n’ai jamais entendu deux fois la même en 7 mois. Quel répertoire!

Et j’en connais une sur trois. J’ai entendu nombre de Phil Collins, quelques Elton John, et une multitude de thèmes musicaux dont je ne me rappelle plus le titre (je me demande si je les ai jamais connus ces titres). Toutes les musiques sont sans paroles, et remaniées pour passer très bien dans un ascenseur.

L’autre jour, j’avais reconnu “Comme d’habitude”. C’est toujours surprenant pour moi au début quand j’entends cette chanson au Japon, puis je me rappelle qu’elle avait été traduite en japonais (il y a deux ou trois décennies) et est très connue ici.

Mais alors quand aujourd’hui j’ai entendu “Emmènes-moi danser ce soir” de Michèle Torr, ma machoire inférieure est tombée par terre. C’était une première. Que me réservent les jours à venir ?

Les ailes du papillon

Vendredi dernier dans l’après-midi, d’un coup, le quart des gens de mon étage se précipite à la fenêtre. Et au bout de 5 secondes, ça commence à parler très fort, un peu comme pendant une pause. On entend des bribes de commentaires comme “il y a de la fumée qui sort là-bas!”, “Qu’est-ce qui se passe ?” ou bien “Mais non, c’est juste une bouche d’aération!”.

On est au septième étage de l’immeuble, avec une vue presque imprenable sur l’hôtel Okura, sur l’ambassade américaine et sur une antenne de l’imprimerie nationale.

Des collègues vont voir ce qui se passe. Les gens (une trentaine de personnes ?) à la fenêtre ont carrément basculé vers le mode “Petite pause tranquille à papoter”. Un collègue ouvre son portable et commence à consulter les infos sur oneseg.

Une collègue revient de la fenêtre et annonce le pourquoi du mouvement: “Il paraît qu’il y a eu un attentat contre l’ambassade américaine”. Ah. -T’as vu quelque chose ? -Non, rien.

Le gars qui consultait oneseg relève la tête et annonce: c’est vrai, il y a eu un attentat contre l’ambassade américaine. A Athènes. Ça a bien fait rire les gens autour pendant 5 secondes. Puis la petite pause tranquille a continué pendant 5 à 10 minutes pour s’évanouir peu à peu.

Vous avez vu des images de l’attentat? Les gars ont cassé une fenêtre. Avec un bazooka. C’est la cinquième dimension ou quoi? Les terroristes auraient fait plus de dégâts en lançant le bazooka sur l’ambassade qu’en tirant un obus.

Et donc, moi j’admire l’enchainement des faits; des cons cassent une fenêtre à Athènes, 30 personnes prennent une pause à Tokyo.

Inventions

Suite des inventions loufoques du moment. Aujourd’hui, inventions occidentales, plus chères que les inventions asiatiques, et qui souvent servent encore moins à quelque chose de concret.

Je laisse ces inventions dans la catégorie “maison”, car 1/ je ne sais vraiment pas où les mettre, et 2/ c’est de la décoration/flambe ces choses-là.

Les pantoufles de nuit

Vous vous levez en pleine nuit pour un besoin urgent (petite commission ou au contraire la gorge sèche). Vous avez le choix entre allumer la lumière (et donc réveiller votre che(è)r(e) et tendre, tout en vous explosant les yeux), et risquer de vous prendre les pieds dans le chat qui dort en haut de l’escalier si vous laissez la lumière éteinte. Cette invention peut vous sauver la vie.

Les pantoufles sont équipées de petites lampes à leur extrêmité pour y voir juste assez pour ne pas se prendre les murs (ou un chat).

Prix: 39 € (environ 6,000 JPY)

Sudoku en rouleaux

Les hommes ont toujours cherché à s’occuper quand ils sont aux toilettes. Récemment, le wi-fi a apporté une nouvelle vie aux minutes perdues lors de ce passage obligé. Mais certains ont cherché un moyen économique de passer le temps, et voici le résultat.

(240 grilles par rouleau)

Quand les occidentaux sont dans une mode, impossible de leur faire penser à autre chose!

Les inconvénients sont élémentaires:

  • que se passe-t’il si on prend trop de temps à résoudre la grille en cours ?
  • les risques de passer au travers du papier avec le stylo sont grands
  • selon le stylo qu’on utilise, on risque de se retrouver avec de l’encre sur les fesses

Avantages ? Un sujet de discussion avec les invités ??

Prix: 10 € (1,500 JPY), le papier toilette le plus cher jamais vu.

Thermos USB

J’achète ma canette de Coca-Cola à 9h et à 13h tous les jours. Et j’en ai marre de boire du coca tiède tous les jours vers midi et 17h. Pour ceux qui comme moi n’ont pas un frigo à portée de la main au bureau, une invention diabolique.

Ce thermos USB garde vos canettes à 7â„?Eou à 50â„?E(selon qu’elles soient de boissons fraiches ou chaudes). Un miracle, je vous dis. Par contre, ce n’est pas tout le monde qui arrivera à pouvoir mettre cet appareil sur son bureau (comme moi, qui suis assis en face du bureau du numéro 2 de la boite!). Déjà que mes canettes, ça passe tout juste, mais alors le thermos, ça le ferait Gaston Lagaffe.

Prix: 63$ (47 € ou 7,500 JPY)

Visite de maisons

Conformément à ce que je disais dans mon post du nouvel an, on va essayer d’acheter une maison cette année.

C’est sans doute vrai pour tous les pays de la planète, par exemple en France, mais ici du moins, tout le monde a des “trucs”, des “tricks”, des “calculs scientifiques/statistiques” prouvés ou non, pour savoir qui peut acheter quoi, quand, où et comment.

Alors (au Japon), il paraît :

  • que les banques ne prêtent pas trop aux moins de 30 ans.
  • que les banques veulent qu’on soit resté plus de trois ans dans la même société pour accorder un prêt.
  • que les banques ne prêtent pas plus de 100 millions de Yen (640 k€).
  • que les moins de 40 ans achètent en banlieue, et les plus de 40 ans achètent dans le centre (ie les 23 Ku), dans le cas où on habite Tokyo.

A mon avis, dans tout ça, il y a plus de vrai que de faux. Mais doit-on s’arrêter dans ses démarches à cause des “il paraît que” ? Non, bien sûr. Alors, avec Yukiko, on a décidé de tenter le coup.

Et puis, sur le montant des prêts, on en a entendu quelques amusantes aussi:

  • On ne peut emprunter que 6 fois la valeur de son salaire brut annuel.
  • Les remboursements mensuels ne doivent pas dépasser 20% de son salaire mensuel net, même si la loi autorise d’aller jusqu’à 30%.
  • Les taux actuels sont à 1.6%, mais ils ne vont pas tarder à passer rapidement à 4%.
  • Le fait de travailler dans une grosse boite fait baisser le taux du prêt de 1% (déjà compris dans les 1.6% ci-dessus).
    (je précise que tout ces commentaires ne sont absolument pas officiels, c’est juste des “on-dit” entendu à droite à gauche).Il y avait d’autres commentaires, mais je ne m’en rappelle plus. Mais vous avez saisi; que peut-on bien faire avec de telles infos ? -Rien, alors on fait (presque) comme si on n’avait rien entendu.

    Ah oui, alors en conclusion, pour la (belle) famille, on est des kamikazes, pour l’agence immobilière, on a raison (ben voyons). Bref, c’est un peu le brouillard. On avance comme on peut, on fait nos calculs maison, et on espère qu’on n’a rien oublié et qu’on ne va pas se prendre un mur dans quelques années.

    *****************

    Le week-end dernier, nous sommes allés visiter des maisons à vendre. Deux à Denenchofu, une à ToritsuDaigaku, une à Todoroki, et une à SakuraShinMachi.

    Les prix s’étalent ente 80 et 116 millions de JPY (515k€ ~ 750 k€), et sans surprises, on préfère celle à 116 M.JPY, mais ça va être très difficile d’obtenir un prêt pour elle. Et d’ailleurs, comme nous n’avons aucune réelle idée de ce que les banques nous prêteraient (voire même si elles nous prêteraient tout court, puisqu’il paraît qu’on ne remplit pas les critères de “clients stables”), l’agence va se renseigner pour nous.

    Affaire à suivre, mais si la banque nous prête beaucoup, alors on va acheter très vite à mon avis.

    Si elle ne prête pas, on attendra quelques années. Ça ne nous ferait pas plaisir, mais ce n’est pas comme si on avait le choix.

Inventions

Suite des inventions loufoques du moment. Aujourd’hui, inventions japonaises.

La toupie Jean-Michel Jarre

Vous vous ennuyez à mourrir, comme lors de vos dernières vacances ratées ? Vous avez des enfants bruyants à calmer ? Cet accessoire est fait pour vous.

Faites tourner cette toupie une fois, et elle tournera entre 2 et 3 heures. Mieux: elle tournera tout en changeant de couleur, 7 fois dans l’heure. Ça ne sert à rien, et c’est la beauté de la chose !

Inventé par des japonais. Prix: dans les 2,000 JPY (13 €)

Poêle à omelettes

Ceux qui ont passe un peu de temps au Japon connaissent le omerice; une omelette au riz. Quand c’est bien fait, c’est bon, si, si. Le plus difficile étant de pouvoir envelopper le riz dans l’omelette, des japonais ont inventé cette poêle , spécialement pour ce plat.

Un accessoire indispensable pour tout(e) cuisinier(e) amateur entre 20 et 80 ans; il y a de quoi crâner devant les copains/copines !

Prix: dans les 2,000 JPY également.

Porte-parapluie anti-vol-à-l’arraché

Toujours de fabrication japonaise, mais celle-ci aurait pu être de n’importe où en Asie.

Les adeptes du vélo n’ont guère le choix; qu’il vente, neige ou pleuve, il faut monter sur le deux-roues et aller faire les courses, ou aller à la gare pour aller au bureau ou à l’école. D’ailleurs, on a tous vu les petites belettes de 15 ans sur leur vélo, en mini-jupe, sortie sud de la gare de Shinjuku en heure de pointe, par temps pluvieux, avec le cellulaire dans une main, et le parapluie dans l’autre. Cette invention leur permet de garder une main de libre.

Une lycéenne sur son vélo: (je n’ai pas trouvé de photo avec une lycéenne avec un parapluie à la main)

(Quel beau vélo quand même !)

Bon, le design de cet accessoire n’est pas top, donc il y a des chances que seules les personnes qui n’en ont rien à faire de leur look l’utilisent (donc, pas les lycéennes). Et c’est là que les inventeurs ont fait preuve d’astuce: replié, le porte-parapluie permet de protéger son sac à main du vol à l’arraché (une mode récente au Japon, semble-t’il). Et là, ce sont vraiment les adultes ou personnes agées qui sont visées (personne ne va voler le cartable d’une lycéenne à priori).

Prix: dans les 3,000 JPY (20 €)