Enoshima

Lors du week-end précédent, nous avons été faire un tour à Enoshima. Cela faisait tout juste 10 ans que je n’y avais pas été, et je me suis rendu compte que lors de mon précédent passage, j’avais raté une bonne moitié de l’île. Amusant.

Enoshima est une île tout près de Tokyo (à environ une heure de train de Tokyo, quoique cela dépende de l’endroit qu’on désigne par “Tokyo”, parce que “Tokyo”, c’est grand!), située en face de la plage la plus proche de Tokyo, et est très très fréquentée par les touristes (et les japonais, cela va sans dire).

Alors, wikipedia me dit que l’île fait 4km de circonférence, et est relié à la terre par un pont de 600m (que les piétons peuvent emprunter).

(Enoshima-vue aérienne)

Les grandes lignes de son histoire sont sur Wikipedia, donc je vous laisse aller la lire (en japonais seulement par contre 😉 ) .

Il faisait beau et chaud. Comme c’était un week-end de trois jours, on espérait qu’il n’y ait pas trop de monde, et effectivement, ce n’était pas surchargé.

(tout est relatif)

Sur la plage et bien que l’été soit fini, on pouvait voir quelques vacanciers.

(des japonais comme on n’en imagine pas)

Sur la jetée, des gens pratiquant l’un des sports favoris des japonais: la pêche.

(Ça rend mieux en B&W)

Il y avait beaucoup de marches pour arriver au sommet (seulement à 60m). Il y avait bien un escalator (là on les reconnait bien les japonais), mais on a préféré prendre les marches. Arrivés en haut, il y avait encore moins de monde, c’est à dire très peu.

(vue du bas des marches: pas impressionant, hein?)

Sur la route au sommet, on rencontre diverses attractions. La roue de la fortune, version japonaise:

(Il faut passer dedans pour attirer la fortune)

Ou bien une divinité, rouge de colère (elle en a sans doute ras-le-bol qu’on la prenne en photo):

Ou bien des gros arbres (la nature, quoi):

Et donc j’ai vu l’autre côté de l’île pour la première fois. On redescend au niveau de la mer, et on est même sur les berges de l’île. Pas trop de photos à faire, sauf celles de la mer…et elles se ressemblent beaucoup au bout d’un moment.

Quoiqu’encore et toujours, il y avait des pêcheurs, alors j’en ai pris quelques unes, toutes nulles ou presque sauf celle-ci à la limite (je ne l’ai pas prise des berges d’ailleurs):

(Devinez: ça rend mieux en B&W)

(voir la même photo en couleur)

Le retour fut pénible, avec le plus grand nombre de marches à faire en une seule fois de l’île.

Et puis on est rentré tranquille, en appréciant une fois de plus d’habiter où on habite, car c’était assez près somme toute.

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