Demotivator (3)

La plupart des gens n’auraient même pas le premier rôle si on faisait un film sur leur vie.

Personne ne ferait de marathon si ils devaient d’abord signer une clause de confidentialité.

Le père noël préfère les enfants riches.

Si on essaie d’échouer, et qu’on y arrive, est-ce un succès ou un échec?

La 2e souris obtient le fromage.

Travailler dur donnera peut-être une récompense demain, fainéanter donne une récompense immédiatement.

Quand tu rêves en regardant une étoile, dis-toi que tu as sans doute des milliers/millions d’années de retard. Ton étoile est morte. Comme tes rêves.

La lumière au bout du tunnel est probablement le train.

Ne détestez pas quelqu’un pour son apparence extérieure. Détestez-la pour ce qu’elle est à l’intérieur.

Sois toi-même. Personne d’autre ne veut être toi.

La vie est un voyage. Fais sur Ryanair. Où tes bagages atterrissent à des milliers de kilomètres de toi.

Si tu crois que personne n’en a rien à foutre de toi…. essaies de ne pas payer tes factures pendant 2 mois.

La vie n’est pas courte. Elle est longue. Très longue. Apres toutes ces mauvaises décisions.

Comme tous les jours, la journée a bien commencé. Puis je me suis réveillé.

Tout peut toujours s’arranger. Tout peut toujours s’aggraver aussi.

 

3 thoughts on “Demotivator (3)”

  1. Ça fait maintenant plusieurs mois que j’ai quitté ma dernière compagnie. En lisant ces derniers articles, je suis en train de reconnaître mon état d’esprit lorsque que j’y travaillais toujours. Chaque semaine, le lundi à 13h après l’heure du déjeuner, il y avait un “toolbox meeting” dans l’open space. Au début, deux employés à tour de rôle devaient effectuer un “safety talk”. Pour mon dernier, lorsque que je savais que je quittais définitivement ce centre de R&D dysfonctionnel, je me suis lâché devant tout le monde, y compris le Directeur du centre. En gros, mon discours s’est résumé à : “Même s’il fait très sombre et même si vous êtes très fatigué, ne fermez pas vos yeux lorsque vous marchez dans la rue. C’est très dangereux !” Quelques collègues étrangers ont ri, d’autres ont souri. Les collègues japonais n’ont montré aucune émotion comme à leur habitude. Pour info, le Directeur du centre avait donné un discours exceptionnel (ce n’était pas son tour) juste avant moi. Pendant une célébration au centre R&D de Paris-Saclay, il avait bu trop d’alcool et avait fini à l’hôpital. Son discours s’était donc résumé à : “Lorsque vous avez l’estomac vide après un long vol, ne buvez pas trop.” Ah ah ah. Il m’avait bien préparé le terrain alors que je ne m’y attendais même pas. Sinon oui, toutes ces petites vérités dérivées listées dans ces derniers articles sont drôles. J’espère qu’on se rencontrera un jour au Japon, en France ou n’importe où. J’ai été embauché en contrat de professionnalisation en management de la qualité chez JTEKT à côté de Dijon. Aucune entreprise française ne m’a donné ma chance pour une reconversion professionnelle. Au final, c’est un grand groupe japonais établi en France qui m’accueille. Un comble ! En même temps, c’est réellement l’entreprise qui m’attirait le plus donc je suis content. Je ne m’attendais juste pas à être dénigré par l’ensemble des grands groupes français. Une vraie catastrophe. En cherchant un peu sur internet, bon nombre d’expatriés français de retour en France sont dégoûtés de leur retour au pays et songent à repartir. Il y a de quoi.

    1. C’est le problème de ma vie !

      Quand je vis au Japon (et surtout que j’y travaille), je veux rentrer en France !
      Et quand je reviens en France (et surtout que j’y re-travaille), je veux repartir !

      Pas pour les 35h ni les 5 semaines de congés payés mais pour la façon dont le professionnalisme et la loyauté ne sont pas récompensés.

      Du coup, comme c’est surtout de travailler pour les autres qui me fatigue, je tente la piste du Digital Nomade !

      Mythe ou réalité ! On verra bien !

      Je me suis donné 3 ans (en fait 3 années scolaires) pour que ça décolle et si c’est le cas, je déménage en Bretagne et dès que possible on fait le grand-écart entre la Bretagne et le Japon.

      Comme je pourrai bosser de partout, peu importe où je suis !

      J’en ai marre d’attendre la retraite (j’ai eu 52 ans en début de mois) en craignant de pourrir chez Pôle Emploi les 10 dernières années…

      Et au moins, j’aurais essayé !

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