World War Hulk

J’ai toujours été étonné de l’engouement des américains pour Hulk. Ce con de géant vert qui a à mon avis raté son créneau (il aurait dû faire de la pub pour du maïs) a pourtant longtemps été un perso basique chez Marvel…Créé en 1962, il a conservé son bermuda violet pendant des décennies, sans que personne ne s’étonne qu’un futal à la taille de Bruce Banner ne craque pas quand il devient Hulk…

Dans mon souvenir, Hulk était peu prolixe (quoique bien plus que dans la série TV minable d’il y a 20/30 ans), mais alors là, il est carrément devenu un moulin à paroles. Je n’ai jamais vraiment suivi ce perso autrefois, et du coup je me retrouve avec un gap assez immense à son sujet. Il est maintenant proche d’un perso “normal” de chez Marvel: il pense correctement, il a des sentiments, il a même réussi à se marier et à faire un bébé (mort dans le ventre de sa mère, elle-même pulvérisée par une explosion atomique…c’est d’un gai!)

Ce bouquin suit l’épopée de Hulk dans Planet Hulk, que je n’ai pas suivie; Hulk revient sur Terre pour se venger de ceux qui l’avaient exilé dans l’espace: Reed Richards, Iron Man, Dr Strange, et Black Bolt (la plupart des membres de l’Illuminati si je ne m’abuse…je n’ai pas encore lu le bouquin à leur sujet).

Le bouquin est une grosse baston du début à la fin. En général, j’aime bien les grosses bastons Marvel, mais alors là, je me suis ennuyé sévère. Tout d’abord parce que le personnage principal, Hulk, est un con. Je sais pas pourquoi ils essaient de le faire passer pour quelqu’un de noble, ça me dépasse. Ensuite parce qu’il latte des gens bien plus forts que lui dans ce bouquin, sans raison vraiment apparente…La logique, même si tout est relatif parce qu’on parle d’une BD Marvel tout de même, est loin d’être respecté. Et puis, parce que des héros deviennent des gros salauds d’une BD sur l’autre, sur simple désir du scénariste (Greg Pak), qui n’en a rien à faire des autres séries…Oh! Respectez un peu ce qui se passe autour. Ensuite parce qu’il n’y a pas vraiment de perso dans cette BD que j’aime bien. Et enfin, parce que les dessins sont nuls. C’est John Romita Jr. qui en a la charge, et ses dessins n’ont pas changé en 20+ ans. Alors forcément, les dessins de ce bouquin sont vieux, mal stylisés, et avec un niveau de détails ridiculement faible. C’est dommage pour une BD criblée de dessins qui prennent une page entière, voire deux (exemple ci-dessous). Le dessin prend toute la page, mais il n’y a rien à voir dans le dessin. En 2 secondes, on y a vu tout ce qu’il fallait y voir. Pourtant, j’ai déjà vu de nombreuses BD (pas forcément Marvel, voire même en fait surtout pas Marvel) où un dessin sur une page entière était un évènement, et où on pouvait y passer quelques minutes avant de passer à la page suivante…

Scénario qui ne tient pas debout. Histoire limite débile. Illustrations pauvres, vieilles, inadaptées. C’est un beau fiasco à mon avis, sauf peut-être pour les fans de Hulk. Les autres BD de Hulk, c’est pas moi qui vais les acheter en tous cas!

The Punisher: Welcome back, Frank / In the beginning

Toutes les séries du Punisher avaient disparu au milieu des années 90, et Ennis tenta en 2000 de faire renaître la popularité du Punisher avec cette mini-série (réunie ici dans un TPB qui nous donne l’impression de lire un one-shot).

La tentative de Ennis fut un succès, et une autre série, toujours en cours, toujours faite par Ennis vit le jour après (voir ci-dessous).

J’ai découvert cette BD cette année, soit 8 ans de retard…whoops. Et j’ai pas mal apprécié! Alors tout d’abord, ça dépareille de ce qu’on connait de chez Marvel; les morts en pagaille, la violence qui, semble-t’il (en fait, je me trompais, voir ci-dessous), n’a pas de limite. Et ma foi, le scénario est bien tenu. Bon, ce n’est pas quelque chose qu’on n’a jamais vu au cinéma ou dans des livres, mais de 1/ c’est rare dans les comics, et de 2/ c’est bien ficelé. C’est pas forcément quelque chose de facile à trouver dans les comics.

Le truc qui cloche, ou plutôt LES trucs qui clochent…sont premièrement les dessins; ils sont moches, trop simplistes, exagérés sans être stylés, dignes d’une BD pour enfants (Dessins: Steve Dillon). Les couleurs sont trop vives, pas adaptée à une BD sombre comme devait être cette BD. Vous me direz, les dessins, ce n’est pas ce qui est le plus important dans une BD (paradoxalement), mais dans ce cas-ci, ils sont sacrément mal adaptés à l’histoire. Et puis on n’y peut rien, j’ai mes goûts aussi (hey, ça m’a pas empêché de lui mettre une bonne note!).

L’autre truc qui cloche, c’est l’humour. Om-ni-pré-sent. Il dédramatise tout ce qui aurait pu être une bonne BD sérieuse qui décoiffe par un scénario bien pensé. Mais là, on se marre toutes les deux pages…ici aussi, ça m’a paru un brin exagéré.

Bon mais, sincèrement, cette BD change de qu’on a connu précédemment, pour le meilleur. C’est un beau pavé de 272 pages, ça prend un peu de temps pour le lire, mais ça n’est pas très compliqué et on s’amuse bien. J’ai un peu hésité sur un 3 étoiles, mais au moins ça dépareillait, alors j’ai été sympa.

————————————————————————————–

En ayant reçu carte blanche pour faire une nouvelle série sur le Punisher, et en utilisant la série MAX de Marvel, Ennis nous a fait un petit concentré (144 pages) d’ultra-violence. De l’ultra-violence à l’échelle Marvel pensez-vous…non, non, de l’ultra-violence tout court.

Le label MAX de Marvel s’adresse aux plus de 18 ans (à raison à mon avis). Marvel s’est engagé à ne pas faire de promotion voyante pour les BD du label MAX, à ne pas les distribuer dans les filières utilisées par les jeunes, ni à  targeter ceux-ci. Car les BD du label MAX, c’est très violent (tant dans le graphisme que dans l’atmosphère de la BD) et il y a du sexe (dans une très faible mesure…et principalement dans les sous-entendus et paroles, car il n’y a pas trop de dessins sur le sujet).

Ennis s’est fait plaisir et a surtout essayé de marquer les lecteurs sur ce premier tome. Et il a réussi à marquer positivement, car la série MAX du Punisher est la série MAX qui a eu le plus de volumes (et la série n’est pas encore terminée aujourd’hui).

Le scénario est assez bateau et présente (encore et toujours) le personnage du Punisher. Lutte contre la pègre, de nouveaux parrains tentent de prendre le pouvoir après que le Punisher ait assassiné tous les parrains existant, et pour ce faire tentent d’assassiner le Punisher. Au beau milieu de tout ça, la CIA capture le Punisher et tente de l’embaucher pour des opérations de black-op.

Les dessins sont in-fi-ni-ment plus adaptés à l’histoire que le volume que j’ai présenté ci-dessus (dessins de Lewis Larosa); l’ambiance est sombre, les dessins sont matures quoiqu’à mon avis un peu trop stylisés par endroits. Cette BD m’a énormément impressioné; rien de ce que j’ai lu chez Marvel jusqu’à présent ne lui ressemble, de près ou de loin. Des gens se sont souvent plaints de la censure omniprésente chez Marvel (et plus généralement dans tous les comics américains), mais là on a été servis. Une BD sans retenue, qui nous livre exactement ce que l’auteur (Ennis) a voulu faire. Recommandée à tous les fans de comics. Pas pour les âmes sensibles, ni pour ceux qui rêvent d’un monde parfait par contre.

Ghost Rider: The Road to Damnation / Trail of Tears

Comme je l’avais déjà écrit quelque part, j’ai toujours trouvé que Ghost Rider était un personnage très charismatique, mais avait toujours été très mal utilisé, et certes, n’avait pas un background propre à générer des histoires très intéressantes. En fait, il a toujours été en marge du reste de l’univers Marvel, et est plus souvent apparu en guest-star que dans sa propre série (jamais parue en France si je ne m’abuse, sauf dans les très anciens bouquins de comics d’horreur, dont j’avais l’occasion de me régaler chez ma grand-mère, autrefois).

C’est alors que Garth Ennis s’y est intéressé. Alors Garth Ennis, à mon avis, est le meilleur scénariste chez Marvel du moment. Je n’ai lu qu’une seule BD de lui qu’il avait franchement ratée. Mais alors “The Road to Damnation” est un succès éclatant à mon goût. C’est du Marvel, mais c’est bien violent y compris dans le langage. Et alors l’histoire est fun! Ghost Rider s’échappe de l’enfer pour remplir une mission assignée par un ange, mais la mission a des éléments cachés.

L’histoire est intéressante. Les dialogues sont excellents. Les blagues (d’humour noir) sont nombreuses. C’est assez violent. Et alors les dessins sont des œuvres d’art; Clayton Crain est un dessinateur hors-pair, j’aime vraiment beaucoup ce qu’il fait. Le tout Ennis+Crain donne le genre de Comic que j’adore.

Comme pour prouver que j’ai tort, Ennis et Crain ont sorti un autre TPB de Ghost Rider, qui lui est tout à fait raté à mon goût (c’est la fameuse BD de Ennis que je n’ai pas aimée). Point de Johnny Blaze dans cette BD, mais un ancêtre du Ghost Rider; l’histoire se passe pendant la guerre de Sécession américaine.

Les dessins sont de toute beauté (bien que très différents de ceux de The Road to Damnation), mais le reste…En fait, il n’y a guère que les dessins à voir dans cette BD. Les dialogues? Presque aucun. De nombreux dessins prennent une demi-page, sans paroles. Aucun humour. Le scénario est bateau (une histoire de vengeance, sur fond d’esclavagisme et d’amitié entre un blanc et un noir…tout ce que les américains adorent).

Sans paroles, le livre se lit rapidement. Oui, on passe du temps à regarder les dessins, mais on se croit retombé en enfance…regarder les images et ne rien lire, c’est moyen-moyen.

Wolverine: Blood & Sorrow – Evolution

Voici une BD qui avait reçu une assez mauvaise critique sur Amazon de la part de lecteurs (genre 2 étoiles). Mais moi les ai-je crus? Naaaaaaaaaan, pourquoi faire, les commentaires des autres, c’est pour les chiens!

Bien sûr, finalement ce bouquin était complètement nul. Rempli d’histoires bouche-trous dont je me carre sévère, je lis les Marvel pour suivre les grandes lignes des histoires, pas pour lire des conneries comme Wolverine qui sauve une fille-à-papa pendant la soirée de Noël et ressentir un “oh! comme c’est beau”.

On y trouve donc 2 ou 3 histoires nullement reliées les unes aux autres, ni même au restant de la vie de Wolverine ou de Marvel. A la limite, la première histoire (faire sortir un bébé héritier d’un trône d’un pays d’Afrique en pleine guerre civile) avait bien commencé, mais elle s’est finie en quelques pages, avec une fin pitoyable, aucun développement de l’histoire, et bien trop vite.

Une pure BD commerciale sans inspiration aucune. A revendre vite sur les enchères Yahoo (mais je me connais, ça va me prendre des mois).

La BD suivante était nettement meilleure. Evolution raconte une seule histoire (c’est quand même souvent le cas lorsqu’il s’agit d’un TPB, bon sang!!), Wolverine traquant Sabretooth (“Dent de Sabre” à l’époque, en France) pour le décaniller une fois pour toutes. Ça n’est pas un scénario original, ohlala non, car on a déjà vu cette histoire quelques fois par le passé.

Mais c’est toujours un plaisir! Les dessins sont pas mal du tout (superbes même), et la progression de la traque est bien racontée. On a aussi droit à une histoire de fond assez tordue, genre “on n’y comprend rien”, même quand on a fini le bouquin. C’est vraisemblablement une affaire “à suivre”, quoiqu’on sait bien que parfois la suite n’arrive jamais (Compaq aurait pu être un titre de comic, je vous le dis). Bon, dans les grandes lignes, on dirait que Wolverine et Sabretooth sont millénaires, ou plutôt peut-être ont eu des ancêtres qui avaient les mêmes caractéristiques que nos héros, et se lattaient tout le temps, sous le contrôle d’un être infiniment supérieur qui compte les points à chaque baston…Ça vous parle? Moi pas trop, mais on verra bien…je perds pas trop le sommeil sur ces histoires de toute façon 😉

Silver Surfer: Requiem

Comme je l’ai dit, de temps en temps, j’essaies de lire une BD Marvel d’un personnage dont je ne lis pas les histoires habituellement. C’est pour ça que j’ai acheté Silver Surfer: Requiem.

J’ai jamais trop aimé Silver Surfer, comme la majorité des catégories A (vous savez, ceux qui sauvent l’univers pour leur petit-déjeuner, genre les Fantastic Four, Les Avengers, Captain Marvel, Adam Warlock, etc), mais de temps en temps, on croise de belles histoires bien construites qui vous laissent songeur. Alors j’ai tenté le coup. Ce livre raconte la mort du Silver Surfer.

Et il arriva ce qui arrive la plupart du temps; l’histoire se lit bien, mais c’est bien trop loin de nous pour que ça nous touche. Le bouquin est tout petit en plus, ce n’est absolument pas faire honneur à ce personnage né en 1966 et que beaucoup de gens connaissent (peut-être un peu grâce aux 2e film des fantastiques où il apparaît, bien représenté en plus). Mais cette BD…trop courte, histoire trop simplette, et du coup trop froide. A éviter à mon avis.

Il y a par contre une série Silver Surfer Annihilation en ce moment, et elle a l’air assez sympa. Je crois que je vais lui donner sa chance.

The Immortal Iron Fist

Je vous ai dit que je m’étais remis à lire du Marvel de façon assez régulière? J’achète un bouquin par semaine. Je n’achète que des TPB (“Trade Paper Back” ?), qui contiennent entre 4 et 8 épisodes de comics, réunis pour donner une histoire complète, ou au moins de gros morceaux d’une longue histoire. C’est plus agréable de lire une histoire du début à la fin plutôt que de lire une vingtaine de pages tous les mois pendant 1 an. Et puis c’est plus économique. Et puis la présentation est bien meilleure que les petis comics qui font “cheap”. Par contre, la publication doit être 6 mois après la fin de la publication de l’histoire dans les comics mensuels…mais bof, après tout, c’est comme tous les films que je ne regarde qu’en DVD et jamais au cinéma.

Pour l’instant, j’ai bien accroché à Daredevil (une de mes séries préférées depuis toujours, puisque j’eus l’immense chance de commencer à lire Daredevil il y a environ 25 ans, juste au moment où les épisodes de Frank Miller paraissaient en France), au Punisher, et à Wolverine. Mais je tente d’autres personnages de temps en temps, quand un bouquin sort sur eux, tel Iron Fist (dont je parlais justement dans mon billet sur le cosplay).

Il y a deux TPB qui sont parus il y a peu, The Last Iron Fist Story, et The Seven Capital Cities of Heaven.

Ce sont deux assez gros pavés, le premier tome faisant 160 pages, le deuxième en faisant 216, ça fait 376 pages de comics pour une histoire…c’est long. Et il faut du temps pour tout lire, du moins si on s’attache aux détails tant des dessins que des dialogues et du déroulement de l’histoire. A mon avis, ça a bien dû me prendre l’équivalent du temps de deux (courts) films pour les lire.

Chose heureuse, le scénario est de bonne qualité. Pas transcendant, mais c’est du bon comic. L’histoire est prenante, et elle exploite bien le personnage de Danny Rand / Iron Fist.

Parce qu’en fait, Iron Fist est un personnage tout à fait minoritaire dans l’univers de Marvel, et fut sans doute créé pendant la mode du Kung-Fu des années 70, mode insufflée par Bruce Lee s’il est besoin de préciser. Mais comme la plupart des effets de mode, il n’a jamais eu autant de succès que d’autres héros tels Daredevil ou Spiderman. Sa série avec Luke Cage (PowerMan) a dû s’arrêter dans les années 80 aux states, et je ne crois pas qu’elle soit jamais parue en France (?). Ceci dit, on l’a souvent vu en guest-star dans beaucoup de séries, et tout connaisseur de Marvel le connait.

C’était sans doute une bonne idée de faire cette série (officiellement appelée The Immortal Iron Fist), et je crois qu’elle devrait continuer après ces deux volumes ci-contre.

Dans ces deux volumes fleuve, on pourra lire l’histoire du père de Danny Rand, et franchement c’est pas trop tôt. Je me rappelle que dans le premier épisode de Iron Fist (qui parut exactement le même mois où je suis né [coïncidence], il y a un peu plus de 34 ans), son père se fait traitreusement tuer alors qu’ils sont tout proches de Kun’Lun (la cité magique où Danny Rand deviendra Iron Fist), et…on n’a jamais rien su du père.

Enfin, ce point a été élucidé, et l’histoire n’est ni simple ni bête, mais originale.

Bien sûr il y a moultes bastons de Kung-Fu magique dans tous les sens, en particulier contre l’ennemi de toujours qu’est Hydra (qui lui a bien dû être créé sous l’influence du S.P.E.C.T.R.E. (lien Wikipedia) de James Bond, au hasard), ainsi que tout ce qui fait l’univers Marvel. C’est parfait, c’est ce que je voulais!

Si un troisième tome est édité, je l’achèterai, mais vu que le tome 2 vient de sortir, j’en ai pour un an au moins avant qu’il arrive 😆

Accessoirement, et j’ai halluciné car je ne suis pas sûr que ce kanji apparaissait autrefois dans les histoires de Iron Fist (serait-il apparu que je ne l’aurais pas compris, bien entendu), mais le symbole de Kun’Lun est…龍 (comme on peut le voir sur la planche à gauche, cliquez pour agrandir). Effectivement, pour devenir Iron Fist, il faut latter le dragon de Kun’Lun, ça je m’en rappelais vaguement…d’où le dragon symbole de Kun’Lun, d’où le kanji…Iron Fist est clairement basé sur du Kung-Fu, donc chinois, et donc le kanji est le kanji chinois…mais c’est exactement le même qu’en japonais. Anecdotique, mais amusant.

Ghost Rider

Tout le monde connait Ghost Rider? Je suppose que oui, vu qu’un film à gros budget est sorti il y a peu de temps. Les afficionados de Marvel le connaissent depuis longtemps par contre (ça doit faire plus de vingt ans que je le connais…).

A tout hasard, en voici une représentation:

Moi, j’ai trouvé une statuette super cute! Elle est sacrément mignonne, non? Elle va faire fureur dans ma bibliothèque 😉

Evidemment, ce n’est pas du goût de tout le monde…

Pour les détails techniques, c’est une œuvre de Medicom. Elle est dans une sorte de polymère de très bonne qualité visuelle (jamais un plastique n’a été aussi beau). Quelques articulations du corps bougent, de façon à pouvoir faire prendre plusieurs poses. Je l’ai eue sur Yahoo Auction, neuve et pour pas cher du tout.



Marvel Cosplay

Je suis tombé par le plus grand des hasards sur une photo de Cosplay d’Américains (ou de Canadiens) sur le thème de personnages de Marvel. Je croyais que le cosplay était réservé aux personnages de manga, mais non…(je n’y connais rien, j’avoue).

Tout le monde connait Power Man (Luke Cage) et Iron Fist ? Ce sont ces personnages:

Et voici les fameux cosplayers…

Franchement, ce n’est pas pour me moquer d’eux que je mets cette photo. Mais j’avoue que j’ai bien rigolé pendant quelques minutes… C’est là où on voit toute la différence entre une BD et la réalité toute crue. Certes, la photo n’est pas faite pour les mettre en valeur (ni leur corps et leurs bouées d’amour), mais tout de même. ‘Faut oser.

Ghost Rider (suite)

Je le savais bien…Wikipedia racontait n’importe quoi dans son article sur le Ghost Rider (au sujet de sa première apparition).

Mais figurez-vous qu’entre jeudi et aujourd’hui, ils ont corrigé cette information. C’est bien.

Donc, Ghost Rider est apparu pour la première fois en France dans Etranges Aventures numéro 40.

Il n’avait pas fait la page de couverture, cela ne présageait déjà rien de bon 😆 Mais à la place, un certain Warlock l’avait fait. Serait-ce LE Warlock qu’on connait chez Marvel ? Adam Warlock ? Woah, Respect. Ghost Rider n’avait aucune chance (ci-dessous, Adam Warlock).