Recherche de job

Alors comme sous-entendu dans le précédent billet, j’ai repris la recherche de job. Il suffisait que j’écrive que JE RESTE pour qu’il y ait une merde et que je doive chercher du taf.

La merde en question, j’ai pas trop envie d’en parler parce que j’ai merdé grave. Politiquement. J’ai fait une boulette énorme, quoique quand je l’ai faite je n’en avais pas conscience ni connaissance des faits. C’était il y a un an, et peu après je m’étais dit “j’ai peut-être fait une boulette là”. Au fur et à mesure du temps qui passait je me disais “ouais c’était une boulette. Clairement.” et la taille de la boulette s’amplifiait de plus en plus dans ma tête. En même temps plus le temps passait et moins il y avait de chance qu’elle sorte. Après un an je me disais “si ça sort je suis viré avec 50% de chance” tout en me disant “c’est bon ça sortira plus là”.

On dirait que c’est sorti, et que c’était pas les bons 50%. J’ose pas demander les détails. J’ai qu’un message d’exactement 10 caractères du num 4 (pour ceux qui lisent le japonais: ちょっと困ったことが qui globalement se traduit par “il y a un petit problème”), et oh putain c’est pas bon. En fait j’ai pas besoin des détails, je sais très bien ce qu’il veut dire, c’est quoi le problème, et comment ils veulent le résoudre. C’est pas un truc urgent alors je vais délayer la situation le plus possible jusqu’à ce qu’on arrive au moment où on va me dire que ce serait bien que je quitte la boite. Ça devrait prendre quelques semaines/mois. C’est pas un truc qui justifie une exécution sommaire sur le champ, j’ai fait de mal à personne et n’ai pas truandé la boite.

Quelqu’un m’a planté un couteau dans le dos, mais pas forcément en en ayant conscience.

Hey mais peut-être que je me trompe complètement hein!

Donc voilà on est reparti avec les recruteurs à la con, les entretiens chiants, les interviewers mongols, les costumes face à ton PC, etc. Y’a que ça de vrai, quelle joie et quel bonheur.

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