Période d’essai

Ma période d’essai se termine à la fin de la semaine, et cela me donne l’occasion de réfléchir au concept même des périodes d’essai en général.

Je fis d’abord un stage dans ma première compagnie, et bien que je dû faire des entretiens à la fin du stage pour être embauché définitivement, une fois le contrat en poche, personne n’a reparlé de cette période d’essai. A la fin des 3 mois, je n’avais reçu aucune note ou message me disant “félicitations !”, parce qu’il était entendu que je restâ. Pendant le stage et la période d’essai, j’avais bénéficié d’un training d’admin Microsoft Windows NT4 (dans les 320,000 JPY (2100 €)), ainsi qu’une semaine de training interne à Hong Kong; je les voyais mal me licensier à la fin des 3 mois. Il est vrai que ce gros con de Katashiba san (qui travaillait dans le département finance, donc il n’avait rien à voir avec moi) m’avait critiqué de la façon suivante, quand j’avais pris des vacances au plein mois d’août: “C’est pas normal que tu puisses rentrer en France alors que tu es officiellement en période d’essai !”. Ma réponse : “J’y rentre pour le mariage de mon frère…”. Et lui, tranquille: “ouais, mais c’est quand même pas normal.”.

Typique de ces japonais qui ne se rendent pas compte de ce que c’est que de devoir faire (payer et organiser) un voyage de 10.000 km pour voir sa famille, surtout avec le peu de vacances qu’on a au début de sa carrière au Japon.

Au fait, les périodes d’essai au Japon durent 3 mois, et sont renouvelables une fois. Les périodes d’essais n’existent que pour les équivalents CDI. Les grosses sociétés ne licensient que très très très rarement à la fin de la période d’essai. Pareil pour les toutes petites. Mais les PME sont celles qui ne font pas de quartier, et n’hésitent pas à virer n’importe qui, n’importe quand (pendant ou même après les 3 premiers mois).

Moi-même, bien que j’avais un peu stressé à l’embauche des premiers membres de mon équipe, je me suis rendu compte que finalement, une période d’essai ne sert à rien. Ça peut devenir une bonne occasion pour virer quelqu’un qu’on n’aime pas (ne nous voilons pas la face, qui a envie de travailler avec des gens qu’il/elle ne peut pas supporter ? C’est par contre à se demander pourquoi il/elle l’a embauché en première instance), mais rien de plus. On ne peut pas savoir en 3 mois, et pas plus en 6, si quelqu’un a le potentiel du poste. Certes on en a une bonne idée, mais croyez-moi, ça arrive de se tromper.

Les sociétés ne devraient pas virer les gens pendant leur période d’essai, sauf incompatibilité d’humeur flagrante, ou grosse bourde du nouvel embauché. C’est un peu d’ailleurs ce que suggère la loi à mon avis, mais si on le présentait comme ça, ce serait mal ressenti. Il y a hélas les malades de la gachette qui tire sur tout ce qui bouge (ie licensient pour un rien pendant la période d’essai). Il y a aussi les vieux routards fatigués qui embauchent n’importe qui, et ne savent pas se débarasser des plus incompétents après. Et au milieu, il y a les jeunes managers, qui hésitent, se creusent la tête, n’en dorment pas de la nuit, pour construire une équipe parfaite. Sachant qu’hélas, il y a peu de corélation entre la qualité professionelle de son supérieur (celui qui nous a embauché), et la façon dont il considérera cette période d’essai (bien qu’on puisse voir certaines tendances, liées à certains paramètres que je ne développerai pas ici). Bottom line, impossible de savoir ce qui va arriver quand on rejoint une nouvelle compagnie. Mais au Japon, nous ne sommes sûrement pas les plus mal lotis des pays développés.

Voyage ? – Non

Des amis de Y qu’elle a connus quand elle était au Canada, et qu’on a rencontré à Paris quand ils faisaient un tour d’Europe, nous invitent à leur mariage à la mi-septembre. Problème, ils habitent le Chili.

J’ai toujours voulu aller visiter l’île de Pâques (bien que les amis de Y n’habitent évidemment pas l’île de Paques, aller au Chili sans aller sur l’île de Pâques me paraîtrait incroyable), et donc l’occasion est très belle, mais en partance du Japon, ce voyage est très difficilement réalisable; dans les 28 heures d’avion (sans inclure le temps de l’escale nécessaire, soit en Europe, soit en Amérique du nord), à des prix qui avoisinnent les 200,000 JPY (1300 €) par personne pour la classe économique…et si on veut aller sur l’île de Pâques en prime, il faut encore rajouter un bon prix.

C’est donc avec un grand regret qu’on a dû refuser, et c’est vraiment dommage.

Prochain mariage d’amis prévu: à Hong Kong, en décembre.

Google Earth

Je ne vais pas faire un article sur Google Earth, non. Je vais juste donner les coordonnées de ma maison à Tokyo, celles de mes parents à Nantes, et celles de la société où je travaille.

Maison Tokyo: 35 35.549N,139 39.875E

Maison Nantes: 47 10.815N,1 48.09W

Entreprise Tokyo: 35 40.045N,139 44.7E

Panne d’Electricité

Ce matin lundi, vers 7:35 du matin, pendant que j’essayais de me réveiller doucement, j’entends mon air conditionné s’éteindre tout seul, en silence. J’essaie de regarder l’heure au réveil, mais celui-ci était éteint. Une panne d’électricité ? Oui. Bon, redémarrage du disjoncteur. Pareil. Frigo et serveur éteint, Y incapable de se sécher les cheveux, etc. Bon, c’est que chez nous ou c’est pareil chez les voisins ? Je tends la tête à la fenêtre, pas un bruit (d’air conditionné) dans le quartier. Alors oui, c’est tout le quartier. Bon, douche froide (l’eau chaude est au gaz, mais sans électricité, le gaz ne chauffe rien), e t en route pour le travail. Mais les trains ne fonctionnaient pas non plus.

C’est que la panne a touché 13,9 millions de foyers, pendant 3 heures. Environ 20 arrondissement de Tokyo (ie la moitié de la préfecture), plus quelques villes des préfectures environnantes: Chiba et Kanagawa. Tout le monde, coupés net, sans distinction. On ne compte toujours aucun blessé ni mort, et cela relève du miracle; quelques conséquences:

La majorité des trains de la capitale coupés net en plein élan, dont la Yurikamome sur le rainbow bridge. 440 feux de la circulation éteints, ascenseurs bloqués entre les étages, gaz coupé, certaines pompes à eau ne marchant plus, etc… J’imagine la quantité de serveurs qui ont fait un shutdown forcé, certains n’ont pas dû s’en relever. Tous les pompiers et policiers mis en service dans la rue. Tous les helpdesks de toutes les compagnies (même les ISP, comme ma boîte) submergés d’assaut. 8500 appels pour la compagnie d’électricité en 2 heures, le chiffre est faible, mais c’est parce qu’ils étaient incapables d’en prendre plus, leurs lignes étant occupées tout le temps.

Et qu’est-ce qui a provoqué cette catastrophe ? Tenez-vous bien, une grue embarqué sur un bateau, qui eut le malheur de faire un court-circuit entre 2 fils à haute tension, et les pilotes du bateau ne s’en sont pas aperçu.

Une des plus (la plus ?) grosses villes du monde a été privé d’électricite pendant 3 heures parce qu’un con a fait un court-circuit entre 2 câbles ?? Vous y croyez vous ?? Tokyo Denryoku (la compagnie d’électricité de Tokyo) n’a pas pensé à mettre en place des systèmes de sécurité pour parer à se genre d’éventualité ?? Avec tout ce qu’elle charge par mois et sa responsabilité ??
Je note que le gouvernement avait mis en place une cellule de crise (avec que des politiciens) en une heure. J’aime bien ce gouvernement. Ils ont fait jurer à Tokyo Denryoku ne réparer plus vite si le même genre d’incident se répétait dans le futur. Ça nous fait une belle jambe !! Et puis, ils n’avaient pas encore promis ce genre de réaction rapide ?? Qu’est-ce qu’ils attendent pour nous virer tout le top management de cette boîte défectueuse !!

La Japon et son manque de responsabilisation des gens…

VISA

J’ai connu des personnes qui avaient des problèmes pour en obtenir une, j’ignore si c’est le cas pour tout le monde, mais moi je commence à avoir trop de cartes de crédit. Toutes des visa. J’en ai 5. Certes, j’ai des comptes dans 5 banques (deux en France, deux au Japon, une à Jersey), mais 4 de mes visa sont reliées à deux de mes comptes au Japon. Dans nombres de magasins, on vous proposera la carte de membre, ou carte de fidélité, qui fait aussi carte visa. Il faudrait que j’en annule quelques unes…mais j’en ai la flemme.

La dernière en date à laquelle j’ai souscris est celle d’Air France. J’ai une carte Visa Air France, et l’idée m’aurait parue stupide il y a quelques années, mais plus maintenant.

Je ne sais pas ce que pensent les français de France, mais ceux qui vivent à l’étranger (comprenez “hors Europe de l’Ouest”) voyagent souvent, du moins plus souvent que les français de France (qui voyagent très peu, même s’ils ont pourtant un nombre de congés payés qui leur permettrait d’aller où ils veulent, souvent); et du coup, tout ces français expatriés s’intéressent naturellement aux miles des compagnies aériennes. Personnellement, je ne m’y suis pas intéressé les premières années, et je me rends compte maintenant que j’ai perdu entre 1 et 2 billets d’avion gratuits Tokyo/Paris (et encore, c’est parce que je ne rentrais pas souvent). Parce que les longs voyages rapportent beaucoup de miles, et qu’en habitant au Japon, on fait facilement des longs voyages.

Sur Air France, il faut 40,000 miles pour recevoir gratuitement un billet d’avion Tokyo/Paris.
En achetant un billet d’avion Tokyo/Paris, on reçoit environ 13,000 miles.
En achetant 2 billets d’avion Tokyo/Paris dans la même année, on est upgradé au rang “silver”, et du coup les billets d’avion Tokyo/Paris rapportent 20,000 miles.
Ce qui signifie qu’en revenant 2 fois en France par an, on gagne alors un billet d’avion gratuit pour la France (ou un upgrade en business-class) chaque année. Mais bon, tout le monde ne peut pas revenir 2 fois par an en France, et donc dans ce cas il en prend 3 voyages pour recevoir un billet gratuit.

C’est là ou je remarque la carte Visa Air France. Proposée uniquement par Air France Japon (en France il faut prendre une American Express), on reçoit des miles à chaque achat. Pour 1,000 JPY (6,8 €) dépensés, 10 miles reçues. Certes, cela rapporte dix fois moins que d’acheter un billet d’avion (qui coûte environ 130,000 JPY et rapporte 13,000 miles), mais on peut recevoir des miles gratuitement avec des achats qu’on aurait fait de toute façon.

Par exemple, je paye mes factures d’électricité, de bouffe pour chats, de gaz et de téléphone, ainsi que ma carte de transports en commun avec ma Visa: je reçois 7,000 miles dans l’année. Ajoutez tous les achats courants (sauf nourriture), et je dépasse allègrement les 15,000 miles annuels.

Donc la Visa Air France, c’est une Visa que je ne jetterai pas.

Un peu de calcul

J’en reviens à cette histoire d’achat de maison, un autre calcul que l’autre fois.

Je paye 200,000 JPY (1,360 €) de loyer mensuel, avec un mois de frais à l’agence de location tous les 2 ans.

Si je reste à vie ici (parce que c’est une belle maison bien grande, bien située, et pas chère pour ce qu’elle est), alors les 40 prochaines années me coûteront (200000 * 12 * 40) + (200000 * (40/2)) = 100,000,000 JPY (680,000 €).

Si on compte 50 ans (!), cela revient à 125,000,000 JPY (850,000 €).

Notez que le calcul prend en compte l’hypothèse peu probable que le loyer ne changera jamais.

“Umh” me dis-je, puisqu’il y a des maisons très bien, très grandes et pas trop trop mal situées pour 80,000,000 JPY (545,000 €) à Tokyo. Si on rajoute les intérêts obligatoires pour ce genre de montant que je n’ai pas, on arrive à peu près au même montant final. Il faut juste que je sois toujours en mesure de travailler, avec un salaire au moins équivalent à celui actuel.

Il y a autre chose qui me turlupine, c’est le décroissement de la population japonaise qui va commencer dans les 3, 4 ans. Au bout de 10 ans, j’ai un peu peur que les prix s’effondrent, dû à la hausse des offres et baisse des demandes. Sans parler de l’économie qui risque de péricliter (c’est un peu la boite noire).

Alors, vivre toute sa vie sans risques dans une chouette maison qui ne nous appartiendra jamais, ou deménager dans une maison à nous, mais moins bien située (en prenant le risque d’une banqueroute fracassante) ?

IKEA

Le premier Ikea a ouvert au Japon le 24 avril de cette année. Avec Y., on n’a préféré ne pas y aller tout de suite, car on se doutait qu’il serait bondé. On s’est réveillé cette semaine, et avons décidé d’y aller samedi dernier (3 mois après l’ouverture donc). On en attendait beaucoup, mais nous avions encore le mauvais souvenir de Carrefour, qui je le rappelle a fait un flop formidable; Carrefour au Japon, c’était tout bonnement nul, avec très peu de produits étrangers, et chers. Il n’y avait rien de différent avec n’importe quel supermarché local (du moins concernant les prix et le choix), et donc quel intérêt y avait-il à se taper 1h30 de train pour y aller ?

Mais revenons à Ikea.

L’Ikea du Japon (situé à Funabashi, à l’est de Tokyo, à 1h20 de train de chez nous. Station: minami-funabashi) est excellent. Enorme comparé à la plupart des magasins japonais. Et il a strictement la même ambiance que l’ Ikea que j’ai pu voir en France (celui de Nantes). Sur 2 niveaux, avec les meubles au 2 niveau, et les accessoires au premier niveau. A l’entrée, un escalator mène directement au 2e niveau où la visite commence. Un choix impressionant, des prix incroyablement bas comparé au reste du marché. Avec Y., on a bavé sur certains canapés, certains aménagements de chambres, et surtout certaines cuisines. Une cuisine top-clean, très belle, avec des rangements extrêmement pratiques et bien étudiés, à 300,000 JPY (2,000 €), pose comprise. Les prix au Japon sont généralement 3 à 4 fois plus chers. Et au Japon, c’est souvent impossible de trouver un aussi bon style. Nous n’achèterons plus nos (gros) meubles que chez eux, promis.

Ikea a l’air de bien marcher, ils ont franchi le cap des 2 millions de visiteurs; j’espère que ces visiteurs ont beaucoup acheté ! Nous n’avons plus qu’à attendre l’ouverture de Ikea Yokohama pour que cela devienne pas trop long pour y aller (on ignore quand cela arrivera, mais ça devrait être dans les 6 mois / 1 an). Je recommande à tous les étrangers au Japon d’aller y faire un tour s’ils pensent aménager leur appartement ou maison dans peu de temps.

Renouvellement de visa

Je viens de recevoir mon nouveau visa (je l’ai renouvelé), qui est maintenant valable jusqu’en août 2009.

J’ai quand meme dû faire 2 ou 3 photocopies, et environ 6 signatures sur des papiers (que je n’ai pas eu à remplir). Pas besoin de me déplacer où que ce soit, tout s’est fait par courrier. Mon dieu, comme c’est difficile d’avoir un visa de travail au Japon 😀

Deuxième ou Seconde ?

La différence entre “deuxième” et “second(e)” ? Je n’ai pas vérifié sur Internet, mais je me rappelle d’une version de réponse que j’avais reçue il y a très longtemps;

“deuxième” signifie qu’il y a ou qu’il y aura un ou une “troisième” (puisque éthymologiquement ces 2 mots expriment bien une continuité).

En revanche, il n’y a pas de suite à “second”. On passe forcément à “troisième”, mais ces 2 mots ne collent pas ensemble, et donc on évite toujours de dire “en second xxxx, et en troisième yyyy”. “Second” signifie bien “deuxième et dernier” (si on suit cette logique de bas étage).

Ça vaut le coup de vérifier sur Internet. Si quelqu’un a du temps à perdre.

Là ou je veux en venir (et ce n’est pas mes chatons décédés), c’est:

dit-on “Seconde guerre mondiale” ou “Deuxième guerre mondiale” ?

Day Trading

Dans ma recherche de moyens pour devenir riche et pouvoir travailler pour moi (au contraire de “pour un employeur”), je retombe souvent sur la bourse. Le boursicotage. L’autre jour, j’entends parler d’un type de boursicotage qui m’a d’emblée attiré: le Day Trading.

Le Day Trading qui semble être une grosse mode depuis quelques années, ressemble surtout pour moi à un autre type de “jeu” : la roulette russe. Mais qu’importe, cela m’attire quand même.

Le principe: on n’investit qu’après l’ouverture des marchés, et on retire (on vend) toutes ses valeurs avant la fermeture des marchés, le jour même. Le but ? Générer un faible gain sur des micro-initiatives, de l’ordre de 0.x %, sachant que si on atteint 1% dans la journée, c’est la réussite totale. Car si on effectue ce genre de gain tous les jours pendant un an, on atteint 200% de gains. C’est plus que n’importe quel autre type d’investissement (même les plus dangereux), et cela peut rapporter très gros, selon le montant qu’on y investit.

Le point positif que j’y voie, c’est qu’on peut limiter ses pertes soi-même; après avoir passer un ordre d’achat, on peut en placer un autre de revente “au cas où la valeur chute à x montant”. On peut donc limiter sa perte à 0.y %. Tout ce qu’il faut espérer, c’est que la valeur sur laquelle on a investit ne chute pas brutalement juste après son achat, et monte assez haut pour générer un profit acceptable. On a tous vu des courbes de valeur: les valeurs alternent montée et descente, et il faut donc prendre la valeur quand elle monte, sachant que plus elle monte, plus la probabilité qu’elle chute bientôt augmente. Il existe des modélisations de comportement des valeurs qui donnent des probabilités sur le comportement dans le proche futur, mais quand même, cela reste du niveau du loto à mon avis, sauf peut être pour les professionels du trading (?).

Les points négatifs/risques : tout d’abord, la commission faite au broker, pour chaque ordre. Si ce broker vous prend 0.x % a chaque transaction, c’est bien lui qui finit avec 200% de gains sur votre investissement, tout en vous laissant les risques (lui est gagnant à chacune de vos transactions). Et bien entendu, si lui vous prend 0.x% de commission, cela signifie qu’il faut gagner 0.(x+alpha)%. Déjà que 0.alpha, cela peut être difficile, mais alors x+alpha, cela peut prouver être très difficile.

Ensuite, et bien on peut perdre tout aussi facilement qu’on peut gagner. Mais je suis bien plus confiant sur ce point, paradoxalement.

Dû au fait que je ne peux pas vraiment boursicoter de mon boulot, et du décalage horaire favorable avec l’Europe, je commencerai probablement mon activité avec la bourse de Paris.Je vais probablement commencer tranquille, avec un montant à investir faible de 200,000 JPY (1,400 €), et on verra le pourcentage que je peux faire. Si vous connaissez un bon broker (qui peut passer des ordres à la bourse de Paris), merci de me le présenter.